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Djamila Ribeiro " La place de la parole noire"et "chroniques sur le féminisme noir" (Anacaona éditions)
Djamila Ribeiro est née en 1980 à Santos, Brésil.
Djamila Ribeiro est maître et chercheuse en philosophie politique. Sa thèse portait sur les féministes Simone de Beauvoir et Judith Butler, en les comparant à la condition féminine noire.
Elle a été Secrétaire adjointe aux droits humains à São Paulo, en 2016. Activiste de poids aux centaines de milliers de suiveurs sur les réseaux sociaux, elle est la figure la plus importante du débat public sur le féminisme noir au Brésil. En mai et septembre 2016, elle a donné une conférence au siège de l’ONU. Elle est régulièrement invitée dans les universités du monde les plus prestigieuses (Oxford, Harvard, etc.). La place de la parole noire est désormais au programme de nombreuses universités.
Elle publie deux livres aux éditions Anacaona :
Chroniques sur le féminisme noir réunit des articles où Djamila Ribeiro propose des discussions sur les origines du féminisme noir, le racisme et la mobilisation sur les réseaux sociaux, par exemple. Elle évoque également des situations du quotidien – intolérance vis-à-vis des religions d’origine africaine, attaques envers des célébrités comme Serena Williams, pour aborder des concepts comme l’autonomisation des femmes et l’intersectionnalité. En plus de ces articles, le livre comporte également un court essai autobiographique où l’auteure, à travers son enfance, pose la question de la mise sous silence de la culture noire.
La place de la parole noire questionne qui a droit à la parole dans une société où la masculinité, la blanchité et l’hétérosexualité sont la norme.
Le concept mis en avant par Djamila, “la place de la parole”, déstabilise les normes en vigueur et souligne l’importance de rompre cette voix unique, dans l’objectif de favoriser une multiplicité de voix.
Ce livre affirme l’urgence de briser les silences institués en expliquant simplement ce concept, tout en vulgarisant des productions intellectuelles de femmes noires de l’Histoire. Penser à d’autres “places de la parole” impose de penser à d’autres perspectives qui rompent avec l’histoire unique.
Djamila Ribeiro est maître et chercheuse en philosophie politique. Sa thèse portait sur les féministes Simone de Beauvoir et Judith Butler, en les comparant à la condition féminine noire.
Elle a été Secrétaire adjointe aux droits humains à São Paulo, en 2016. Activiste de poids aux centaines de milliers de suiveurs sur les réseaux sociaux, elle est la figure la plus importante du débat public sur le féminisme noir au Brésil. En mai et septembre 2016, elle a donné une conférence au siège de l’ONU. Elle est régulièrement invitée dans les universités du monde les plus prestigieuses (Oxford, Harvard, etc.). La place de la parole noire est désormais au programme de nombreuses universités.
Elle publie deux livres aux éditions Anacaona :
Chroniques sur le féminisme noir réunit des articles où Djamila Ribeiro propose des discussions sur les origines du féminisme noir, le racisme et la mobilisation sur les réseaux sociaux, par exemple. Elle évoque également des situations du quotidien – intolérance vis-à-vis des religions d’origine africaine, attaques envers des célébrités comme Serena Williams, pour aborder des concepts comme l’autonomisation des femmes et l’intersectionnalité. En plus de ces articles, le livre comporte également un court essai autobiographique où l’auteure, à travers son enfance, pose la question de la mise sous silence de la culture noire.
La place de la parole noire questionne qui a droit à la parole dans une société où la masculinité, la blanchité et l’hétérosexualité sont la norme.
Le concept mis en avant par Djamila, “la place de la parole”, déstabilise les normes en vigueur et souligne l’importance de rompre cette voix unique, dans l’objectif de favoriser une multiplicité de voix.
Ce livre affirme l’urgence de briser les silences institués en expliquant simplement ce concept, tout en vulgarisant des productions intellectuelles de femmes noires de l’Histoire. Penser à d’autres “places de la parole” impose de penser à d’autres perspectives qui rompent avec l’histoire unique.